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Austin Powers 2: The Spy who shagged me













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Austin Powers 2: The Spy who shagged me
Réalisé par Jay Roach

Mike Myers est aux USA ce que Christian Clavier est à la France. Ses films ne peuvent exister au-delà des frontières cul-turelles de leur pays d'origine. Ainsi Austin Powers 2, dans la pure lignée de son prédécesseur, est un film stupide qui ne peut que convaincre le spectateur américain.

Au contraire de son titre, Austin Powers 2: The Spy who shagged me, le film pastiche Moonraker avec quelques éléments de Dr No (l'île et Heather Graam sortant de l'eau), Dangereusement votre (la capsule polaire) et Goldeneye (l'espionne russe) entre autre, et y ajoute une machine à remonter le temps.

Vous l'aurez compris, le film n'est qu'un prétexte à une série de gags au ras de la ceinture, où finesse et esprit n'ont pas leur place. Pourtant, je dois l'avouer, le film a reussi à me faire rire, ce qui n'avait jamais été le cas du premier Austin Powers. Certains gags téléphonés comme la scène du café dans le laboratoire fonctionnent bien, alors que celle dans la tente est hilarante. Ce sont en fait les gags ayant recours à la vulgarité qui y sont les plus amusants. Starbucks, en tant que companie du Spectre envahissant le monde est aussi une bonne idée, pas si éloignée de la stratégie de la chaîne de cafés. Les références à Star Wars, d'ailleurs détroné du haut du box office par Austin Powers 2 y sont bienvenues comme un ultime pied-de-nez à l'auto-proclamé blockbuster de l'été. Mais le plus amusant est certainement ce naim vicieux, et la scène où Austin Powers le cogne contre le mur.

Mike Myers ne sait évidemment que faire dans l'excés, alors que Heather Graham ne qu'y promener son minois. Quelques caméos inattendues aggrémentent un peu le film, mais la présence de Jerry Springer y est irritante. Quoique le film se moque gentiment du talk show le plus poubelle des Etats-Unis, il donne aussi la part belle à son présentateur Jerry Springer qui devrait être mis au pilori au lieu que sur un pied d'estal.

Même si le film est plus réussi que le premier épisode, il en reste pas moins stupide et ne mérite pas d'être encouragé en payant pour. A la place, louez le premier James Bond, Casino Royale où Peter Sellers, , Orson Welles et David Niven font une satire tout en humour anglais du roman sur le célèbre agent secrêt.

  Fred Thom

     Austin Powers in Goldmember




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