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Le gamin au vélo
Sorte de conte social, avec son petit chaperon rouge en passe d'effectuer son parcours initiatique, son grand méchant loup et sa fée, le film raconte l'histoire d'un gosse de 12 ans vivant dans un foyer d'accueil.
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Gangs of New York
Il semblerait que Martin Scorsese n'ait pu échapper à la malédiction qui frappe ces œuvres démesurées sensées recréer avec authenticité les premières heures de la nation américaine. Après La Porte du Paradis et Révolution, Gangs Of New York est la dernière victime d'un rêve de grandeur inaccessible, le film ne réussissant jamais à trouver une juste mesure entre la fresque historique et le mélodrame.
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Garden state
Voilà une œuvre singulière, ni totalement hypocrite ni foncièrement sincère, fardée en pamphlet générationnel mais au fond beaucoup plus mortifère et torturée que pourrait le laisser présager un catalogage expéditif.
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Gerry
Gus Van Sant, réalisateur ancré dans la culture américaine, nous offre probablement son film le plus universel avec Gerry, une œuvre naturaliste et épurée à l'extrême où l'homme n'est qu'un infime détail dans un décor qui l'engloutit.
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Ghosts of Mars
On dirait que film après film, Carpenter s'use, se vide, comme une vieille pile, et exploite ses thèmes favoris avec de moins en moins d'inspiration. Les récents Le village des damnés, Los Angeles 2013, Vampires ne sont plus que des pastiches de ses œuvres précédentes.
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Gladiator
Film majestueux, et psychologique à la fois, Gladiator, marque le retour d’un réalisateur et d’un genre au devant de la scène. Alors que Ridley Scott (Blade Runner, Duellistes, Alien) était tombé dans l’oubli aprés des choix plus que hasardeux (GI Jane, White Squall), et que les péplumsou films à sandales n’étaient plus devenus que l’objet d’un amusement kitsch, Ridley Scott réussit un tour de force. En redonnant souffle à un genre déchu, il parvient à raviver la flamme de ses débuts et crée par la même un nouveau héros de pellicule, le gladiateur, et de chair, Russell Crowe
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Gomorra
Tentaculaire et anti-spectaculaire. Tels sont le sujet et son traitement dans le film de Matteo Garronequi entraîne le spectateur dans une plongée en apnée au centre du monde protéiforme de la mafia napolitaine, la Camorra.
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Goya In Bordeaux
Dans son nouveau film, Carlos Saura (Tango, Ay Carmela, Blood Wedding) met en images la vie et les oeuvres de celui qu’André Malraux considérait comme le premier peintre moderne: Francisco de Goya (1746-1828). Le regard du réalisateur, centré sur l’art et l’humanité (ainsi que sur sa passion pour l’art espagnol), parvient à représenter l’ampleur de l’émotion de l’artiste face à la guerre et à l’Histoire.
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Gosford Park
Robert Altman est maître de son sujet, et apparemment, toute l'équipe de Gosford Park prend exemple sur lui. Après le fâcheusement mauvais Dr. T and the Women et le moins décevant Cookie's Fortune, Altman trouve finalement le moyen de régner sur la première demi-heure de chaos déconcertant et l'intrigue qui en découle : placer l'action au cœur d'une maison bondée et ne laisser personne en sortir.
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Gozu
Freud lui-même aurait renoncé à décrypter Gozu, un salmigondis narratif où un yakuza au bout du rouleau se met à exterminer les chihuahuas, convaincu que les pauvres bêtes ont fomenté la destruction de ses congénères.
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La Guerre des mondes
Du nouveau ? Certes. E.T. n'est plus ici. La communication, ce grand fantasme spielbergien, a été coupée.
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Le Guerrier Silencieux
Ceci n'est pas un film de vikings, dans le sens classique, mais plutôt un voyage sensoriel et expérimental, entre Aguirre la colère de Dieu et 2001 l'Odyssée de l'espace.
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